L’ex-chef du gouvernement est accusé de « saper la sécurité intérieure de l’État », de détention illégale d’armes et d’insulte au chef de l’État, Évariste Ndayishimiye. Il comparaissait en compagnie de six coaccusés devant la Cour suprême du Burundi, qui doit rendre son verdict d’ici à trente jours.